Fascinations
Balzac et sa robe de chambre, le café à portée de la main.
Hugo qui travaille « à force », comme il l’écrit, à Bruxelles.
Zola accumulant les carnets de notes, enquêtant comme un fou.
Pourquoi ces images me viennent-elles, pourquoi ces clichés me
fascinent-ils ?
Parce que je viens de charger sur Internet tout ce que j’ai trouvé de
Jules Verne, et qu’il y a là un nombre incroyable de titres dont je
n’ai jamais entendu parler ? Et que j’envie les grands travailleurs ?
Et que je lirais pour compenser ?
Allez savoir.
Néanmoins, la question est posée, j’ai bien peu qu’elle me suive un bon
moment.
Au moins jusqu’au jour où j’aurai enfin terminé le livre que j’ai
entrepris sur Madagascar, et que sa nature même rend interminable,
puisque j’aurai toujours, je l’espère, des choses vues (encore Hugo !)
à y ajouter (je rentre à l’instant du Ministère de l’Intérieur où j’ai
subi, plutôt plaisamment, une « enquête de moralité » pour compléter ma
demande de renouvellement de visa, que j’ai cette fois souhaité
définitif).